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blouses-rouges

17 décembre 2010

http://www.apopsix.fr/boutique/blouses-rouges--978-2-35979-022-1.html

Enfin il est sortie sur le net http://apopsix.fr/

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9 août 2009

DEJA + DE 150 VISITES !!!!!!!!!!! LE SITE:

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LE SITE: http://blousesrouges.jimdo.com

28 juin 2009

demande de publication Par la présente, je vous

demande de publication

                                                                Par la présente, je vous adresse un extrait de mon manuscrit « blouses rouges » compte tenu de son volume je n’ai pas souhaité vous adresser la totalité de l’ouvrage, la table des matières et les extraits donnent une idée exacte de son contenu. Si vous souhaitez en savoir plus, je serais très heureux de vous l’envoyer.

merci

                                                                   

28 juin 2009

une émission musclée!

Ceci est une émission sur radio chalette 89.3 le mag le 27juin entre 9h et 10h

En fin de partie écouté bien , une émission qui dénonce les maltraitances !

Un beau bordel !

http://www.radio-chalette.com/Le-Mag-27-Juin-2009.html

28 juin 2009

CHAPITRE 5

    

       TOP SECRET         

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28 juin 2009

Les avocats et psy du pauvre Je suis entré dans

Les avocats et psy du pauvre

Je suis entré dans les syndicats  afin de pouvoir  faire changer les  choses de l’intérieur pouvoir montrer les dysfonctionnements, éviter l’injustice et mettre des battons dans les roues aux assoiffés de pouvoir. Seulement, ce n’est pas si facile et l’on doit parfois simplement écouter en fermant les yeux.

Le local et le groupe de personnes qui s’en occupe, possèdent une qualité rare de nos jours, c’est l’écoute.

Ils ne  portent aucun jugement sur l’individu en face, on l’écoute et tente de l’aider comme des « psy » au rabais, on se renseigne sur les lois, monte des dossiers pourtant moins qualifiés qu’un avocat. Je me suis très vite rendu compte du peu d’armes des syndicats avec une diminution de motivés. 

Je vois autour de moi des collègues licenciés, blâmé, non récompensés, dévalorisés sans rien que nous puissions tenter, les pieds et poings  liées par les procédures, les réunions interminables, les C.H.S.C.T (comité d’hygiène de sécurité et des conditions de travail) , les C.T.E où seul l’avis des directeurs compte. Les tribunaux administratifs rendent un jugement trop tard mais je ne désespère pas d’une amélioration à venir.

Ce n’est pas toujours l’idée de la défense que je me faisais des travailleurs mais cette école est devenue pour moi essentielle, entouré de gens qui ont que des convictions, avec lesquels je partage des idées parfois opposées. Il est faux de cataloguer notre syndicat (le numéro un en France) comme un groupe d’anarchistes sans dialogue.

Je me suis brulé les ailes plusieurs fois en voulant faire reconnaitre l’injustice. Le gros souci du public c’est que  tout se règle en interne avec des lois, des décrets pas forcements respectés.

Nous nous arrangeons pour que tout le monde soit heureux. Les syndicats arrondissent les bords, négocient les sanctions au cas par cas faute de pouvoir se défendre contre la direction, pure représentation de l’état.

L’hôpital représente l’institution intouchable, le silence est très significatif et les histoires qui choquent ne sont pas  publiées dans les journaux ou parfois dénoncées par quelques soignants dans un livre. Les traitres  osent parler, écrire, s’exprimer pour revendiquer leur droit à être libre de penser, de s’indigner, de pointer du doigt les dysfonctionnements. La  faute est impardonnable,  violent  le  secret de famille. Les gens ont peur de parler, ne veulent pas prendre de risques avec une gène indéfinissable,  les yeux se ferment pour ne pas être embêté dans une  petite vie tranquille en niant la situation jusqu’au jour où toutes les erreurs d’un système leur seraient mises sur le dos.

Il est si simple de menacer une personne avec diplomatie lui mettre le doute, le culpabiliser comme savent faire les cadres et autres dirigeants. Les notes de services suspectes allant contre le droit du travail, les circulaires qui remplacent parfois les lois  sont utilisées pour apeurer le personnel  qui se voit dans une impasse.

Le pouvoir des tracts, des courriers, des mails, est réduit à néant par se système qui tend à laver son linge sale en famille, on ne doit rien dire se taire, se faire tout petit même si l’on est dégouté.

Les IFSI vous éduquent par la peur en vous apprenant davantage ce qu’il ne faut pas dévoiler sous peine de commettre une faute professionnel ou de briser la loi du silence appelé  secret professionnel.

Ce système dictatorial ou monarchique avec un directeur souverain qui pourtant est comme vous et moi un humain, rien de plus, oblige les soignants à faire semblant d’être heureux dans un endroit suspect, macabre, gênant, silencieux, insidieux, malsain . Tout le monde à déjà été à l’hôpital ou connait quelqu’un qui y a été, vu de l’extérieur on ne sait pas trop ce qui s’y passe, c’est flou, vague avec des gens habillés en blanc. 

  La santé a donc un statut particulier avec son fonctionnement  propre, inconnu. Il n’y a pas d’aide avec des syndicats seuls qui tentent de se débrouiller pour régler des conflits. Je suppose que cet endroit ravive de mauvais souvenirs, on tente donc d’oublier ce lieu  et les gens qui y travaillent  afin de ne pas voir toute cette souffrance

Je souhaite vraiment défendre les autres, les aider et les faire adhérer pour défendre une cause commune. Le poids est lourd quand on s’investit, on marche près d’un champ de mines.

Les regards bienveillants d’autrefois ne sont  plus, les gens ont une autre opinion quand on adhère avec le dos tourné pour certains. Il n’y a aucun remerciement et parfois même des calomnies, de lourde critique sur notre impuissance, responsable de la politique, de l’éducation enfin de tout. Les syndicats sont des boucs émissaires pour les plus haineux. Les gens tournent vite leurs vestes, sans solidarité ni respects des vertus  seulement celle de l’égoïsme, de valoriser son propre intérêt.

Je me suis vite rendu compte que nous sommes seul avec nos problèmes. J’ai pu voir le rapport de force se dégrader avec bientôt un dominant et un dominé. Le pouvoir des uns se manifeste quand les lois, les valeurs, les règles ne sont pas respectées. Les travailleurs ne peuvent plus se défendre devant certaines situations injustes.

Le salarié est noyé entre circulaire, décret, loi, nouvelles organisations, restructuration, droit du travail, tant de mots complexes.

Le syndicat ne fait pas de distinction de classe tout le monde peut y adhérer et apprendre s’il le souhaite. Les agents syndiqués sont eux aussi brouillés dans le marasme des codes, les procédures sont floues. Le plus difficile n’est pas de trouver la bonne loi qui discrédite ou accuse mais de la faire reconnaitre et valoir car même si elle est écrite, l’argumentation est toujours obligatoire.

Je suis allé voir certain meetings ou fêtes de partis politiques qui débordent du syndicalisme mais nécessaire pour comprendre. Et pourtant je n’ai pris ma carte nulle part et voté blanc aux présidentielles pourquoi ? Car ma réponse je ne l’ai pas trouvée,  personne n’a su me donner l’envie de véhiculer des idées ou des opinions. J’ai trouvé important de défendre l’entourage, les proches sans avoir l’impression de devoir adhérer à un programme préconçu.

L’argent a raison dans la société, ce qui est valable pour un individu riche avec une multitude de défenses . Les syndicats arrondissent les bords, ils sont les punching Ball, les confidents, les médiateurs, ils portent toutes les casquettes que l’on veut leur donner, les seuls gratuits sans demande de cotisations comme le fait notre groupe près de chez moi.

La culture syndicale se perd en même tant que la politique au profit de la monnaie.

Ces hommes et ces femmes dans la rue à marcher avec leurs banderoles, en grève ou  en perpétuels actions ne possèdent rien d’autre qu’une idéologie du cœur, le dernier rempart contre cette société dépossédé de l’essentiel « l’espoir ».

28 juin 2009

DISCRIMINATION Je me suis syndiqué sans me rendre

DISCRIMINATION

Je me suis syndiqué sans me rendre compte de l’étendue du champ de bataille. Le plus dur est de faire respecter les règles, les lois,  les promesses et de ne pas laisser pourrir certaines situations comme c’est souvent le cas.

Une collègue avait commencé à travailler en tant que faisant fonction aide soignante dans un service personnes âgées toujours en sous effectif. 

Elle obtint son diplôme et retourna dans cet endroit où personne ne voulait aller. Malheureusement, elle resta  2ans en contrat à durée indéterminée. Les mauvaises appréciations  retardaient sa stagérisation , dernière étape avant sa titularisation.  Je ne comprenais pas pourquoi on gardait un agent qui avait eu une mauvaise appréciation. En me penchant davantage sur son dossier, je vis son évaluation faite de manière frauduleuse sans respect des règles.

Etait ce à cause de sa couleur de peau ? Je me posais des questions sans comprendre pourquoi ne bougeait elle pas ?

Tous ses collègues écrivirent une lettre de soutien et l’encouragèrent à prendre rendez vous avec le directeur et les représentants syndicaux.

Quand le directeur prit connaissance de la situation, il exigea de la part des syndicats de le prévenir de situations similaires.

Ce fut l’une des premières victoires avec pour but de stabiliser la situation des nouveaux arrivants.

Je suis heureux de pouvoir aider, malheureusement les remerciements ne pleuvent pas, il n’y a plus de gratitude. On se sert des syndicats comme de vulgaires  mouchoirs en papier.

Les gens rendus malades par leur  travail viennent vous voir, vous les aidez par devoir, obligation, convictions peu importe les motivations de chacun, sans jamais rien recevoir de personne en échange ou parfois des insultes «  bon à rien » « fainéant » etc….

Les représentants syndicaux sont comme une vieille grippe contagieuse si l’on n’obtient rien ou un organisme qui fait son boulot quand tout se passe bien lors d’une manifestation.

La plupart par manque de culture croient le syndiqué détenteur d’un statut particulier avec une fonction qui se doit de répondre à toutes les attentes sans rien payer. Les gens sont égoïstes et ne pensent qu’à eux même, croyant que tout est du, que tout s’obtient sans se battre. Ils sont bien  gros et bien dans leurs baskets, assistés depuis plusieurs années,  les « non concernés », se reposant sur les connaissances de quelques uns. 

Seulement, la force d’un  syndicat est  celle des salariés et moins il  y a d’adeptes moins les gens pourront être défendus, soutenus. Les premiers à critiquer sont les premiers à demander à être défendu et pourtant « les fainéants avec leurs heures » sont les premiers à prendre du temps pour les aider.

28 juin 2009

une émission musclée!

Ceci est une émission sur radio chalette 89.3 le mag le 27juin entre 9h et 10h

En fin de partie écouté bien , une émission qui dénonce les maltraitances !

Un beau bordel !

http://www.radio-chalette.com/Le-Mag-27-Juin-2009.html

28 juin 2009

PUB TV ET MENSONGE Pendant les vacances d’été,

PUB TV ET MENSONGE

Pendant les vacances d’été, j’ai regardé une émission sur l’histoire des momies.  Les scientifiques dépensaient toute leur énergie pour retrouver les origines de personnes défuntes, il y a des milliers d’années. C’est une motivation importante qui permet à l’homme de se situer, de retrouver une partie de son passé.

C’est bien de regarder en arrière mais on ne vit pas avec les morts. Les défunts ne faut il pas les laisser tranquilles et davantage s’occuper des vivants. Des  S.D.F meurent dans les rues sans jamais être recherchés, sans savoir qui ils sont. Aucun scientifique ne cherche à retracer leur vie, à connaître leur identité et pourtant il serait plus judicieux de les aider de leur vivant comme l’ont compris peu de gens.

On imagine des spots TV, des émissions retraçant les valeurs morales avec  ce qu’il y a de plus humain en l’homme.

L’exemple d’un agent hospitalier quel qu’il soit  ne représente guère l'image parfaite de l’homme attentionné, doux, qui rit, pleure quand quelqu’un meurt comme dans les films où les fins sont dramatiquement bien maquillées.

L’inverse  se produit, on  ne ressent plus rien pour l’autre, on pense pourvu que ça ne nous arrive pas. La vision change, se trouble par la fatigue,  c’est un travail ou le temps compte où l’on nettoie, nourrit, aide des gens à la chaîne.

De plus en plus j’entends : «  ce sont des numéros, on est à l’usine ici ! ». Ce coté où l’on sourit, parle n’existe plus. La société toujours plus pressante économe de son temps, individualiste et sans valeurs nous rend ternes, moins compréhensif. On croirait rêver avec ses locaux propres, ses infirmières ou ses soignants agiles précis, sereins, heureux et fiers de faire ce métier avec des moyens techniques considérables.  Il y a des moments de tristesse surréaliste dans ces séries ennuyeuses.

Etre à l’écoute, parler calmement .N’est ce pas  un idéal construit pour nous faire avancer ? Le patient est là attendant dans son fauteuil roulant,  regardant la pendule avec un peu d’action quand  il voit quelqu’un courir.

L e matin c’est une course où l’on fait sortir les personnes le plus rapidement possible de leur lit. On les lave parfois sans même adresser un mot, chacun dans ses pensées.

L’esprit d’équipe n’existe pas, il est suggéré car  chacun critique chacun sur sa méthode, sur les erreurs qu’il a faites ou même sur la vie qu’il mène.

Dans un hôpital tout le monde est au courant de la vie de tout le monde et votre réputation en dépend. Il y a des soignants qui se marient entre eux car les rencontres sont majoritaires au travail, il y a  des jaloux mais aussi  des divorcés qui on l’impression d’avoir tout raté. L’équilibre est difficile à trouver quand se mélange « vie privée vie- de travail », les plus haineux  persécutent afin de se sentir vivant face à une vie routinière non pimentée et les solitaires, les culpabilisés, les carriéristes se défoncent dans le boulot parce qu’ils n’ont rien d’autre.

Il faut  se forger une carapace contre tout le monde, la vie, les images difficiles, les liens que l’on a pour ne pas souffrir. La mort,  on tente de l’oublier quand on rentre chez soi avec  l’eau de la douche qui coule et aide à  évacuer les mauvaises  pensées. Au fils du temps cela s’atténue, on s’habitue.

Les histoires dramatiques sont toujours les mêmes on en parle plus, on les oublie comme les corps sans vie que l’on lance d’un brancard à un autre sans savoir qui ils sont. On ne pleure plus mais on s’agresse, on ne veut plus montrer ses sentiments pour ne pas passer pour un faible, on garde tout à l’intérieur et on ne donne plus rien alors que l’on aurait tant besoin de communiquer. Elle n’existe plus  la douce chaleur de l’autre remplacée par la froideur, les cœurs se gèlent comme les corps glacés qui pour certains n’ont pas réappris à épouser la vie et ses bienfaits. Il ne faut plus tendre la main au mort mais serrer celle des vivants. Ce n’est pas quand les gens disparaissent qu’il faut pleurer sur leur tombe. Il faut réapprendre à parler, se solidariser pour réapprendre à aimer la vie sans se soucier du mal, avec spontanéité et sans forcément attendre un retour.

« LA réalité de ce monde est l’inverse du rêve que l’on en  a ».

28 juin 2009

Maltraitance institutionnelle ( début du texte) «

Maltraitance institutionnelle ( début du texte)

« Il est très facile de s’attaquer à une personne mais quand il s’agit de pointer du doigt un système défectueux en dénonçant les mécanismes cassés d’une horloge qui donne l’heure en retard, c’est plus difficile. Il vaut mieux prévenir que guérir et pourtant nos hôpitaux sont de plus en plus malades. Il n’y a jamais de solutions aux problèmes mais seulement des réparations qui coutent cher, la santé à un prix et tant pis si ça fonctionne  moins bien, car tant que les roues de la pendule tournent encore c’est que le temps ne s’est pas arrêté. Il faut continuer de dormir et surtout ne pas se réveiller.

Je ne me rends plus compte si mes actes sont justes ou non,  je travaille parfois  à l’instinct car les formations sont peu nombreuses. On s’adapte au travail sans voir nos erreurs comme on s’adapte aux sourires de la direction qui vous mène en bateau, ne vous laisse pas le choix ou ne tient pas ses promesses. (Un conseil : il faut tout consigner par écrit). »

Une majorité de soignants ont peur, il est finit le temps de l’ordre avec ses âmes chevaleresques, l’opposition est faible car la confusion règne. Il faut rentrer dans le moule, formaté par  l’institution qui gère même les I.F.S.I . Les devins, oiseaux de mauvais augure cherchent à savoir l’avenir de l’Hôpital, pour moi l’Hôpital a toujours agi en fonction des priorités, il y a un budget et des enveloppes, le sous effectif, les mauvaises conditions de travail, les infections contractées font partie d’une routine. Le mauvais c’est celui qui ne sait pas s’organiser, ne respecte pas l’hygiène. La théorie de ceux qui gèrent et la pratique de ceux qui font, est séparée, non pas par  un Fossé mais une frontière gigantesque. On rejette la faute sur celui qui agit. Et pourtant, Qui écrit les protocoles ? Qui surveille l’hygiène ? Qui donne l’argent pour faire tourner un service ? Il faut des secteurs pas chers qui rapportent beaucoup. Les soignants ne bénéficient pas d’un tarif privilégié au contraire ce sont des hommes et des femmes malades eux aussi. Combien de contaminés ? Plus qu’ailleurs c’est évident  car la maladie est partout.

Ma mère est tombée malade subitement De quoi ? Nous ne savons pas mais il est évident qu’une blanchisserie d’hôpital avec ses linges sales, sa poussière, lé béton des travaux après un agrandissement, une chaleur fiévreuse des bâtiments, ne respire pas l’air des montagnes.

C’est  une mini société regroupant un pouvoir administratif, financier et technique pour les soins. Le personnel coute cher et les personnes âgées sont de plus en plus nombreuses dans tous les domaines. Les projets poussent donc comme des champignons, comment faire plus avec moins ? Les syndicats arrivent à des constatations aberrantes, un veilleur de nuit pour 50 personnes, 5 soignants pour des dizaines et dizaines de résidents et du matériel inexistant. Les services de médecine n’ont plus que le nom car pour une majorité, ils sont devenus gériatrie.

Par ailleurs, les mentalités changent, le personnel se rassemble en clans non pas pour affronter l’absence de financement mais pour critiquer le collègue. Il y a ceux qui aiment prendre leur temps pour savourer encore le travail bien fait et les autres rapides, produisant des soins se croyant utile en répondant aux attentes des chefs. Ils pleureront tous ceux qui se briseront le dos…………….

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  • Anamnésis est né quelque part dans les années quatre-vingt. De un à cinq ans, il joue à cache cache avec la mort dans les hôpitaux et heureusement pour nous il en réchappe. De cette entrée dans la vie douloureuse nait le désir d’aider autrui, de restituer
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